CE SITE VOUS PROPOSE L'INCONTOURNABLE ET LA BASE IDÉALE DU TIERCE

Histoire du PMU C’est en Juin 1881 qu’une loi rend légal les paris de courses de chevaux en instituant la mutualisation. Le principe de la mutualisation signifie que les parieurs sur les courses se partagent les gains. Du moins ce qui reste en gain après le prélèvement de l’état et du PMU. Les sociétés de courses agréées par le Ministère de l’Agriculture étaient chargées de l’organisation des courses et des paris. Les paris ne pouvaient être enregistrés que sur les hippodromes. D’où le nom de PMH (Paris Mutuel Hippodrome) En 1930, une loi permet aux Sociétés de courses d’enregistrer les paris en dehors des hippodromes. C’est alors qu’apparait le PMU en 1931, signifiant Pari Mutuel Urbain, et dont on doit le principe au français Joseph Oller. Grâce au PMU, les paris pouvaient être enregistrés en dehors des hippodromes, c'est-à-dire dans les cafés, les boutiques, les restaurants … Les parieurs parisiens furent les premiers à profiter du PMU, mais il n’y avait pas de tiercé. Les deux paris étaient le << simple >>, et le << report >>. C’est en 1954 qu’André Carrus proposa le << Tiercé >>. Le Tiercé doit une grande part de sa popularité à la retransmission télévisée dont la première eut lien en 1956. Ce n’est pas longtemps plus tard, en 1976 qu’apparaît le << Quarté >>, suivi en 1986 du Quarté plus, et du Quinté plus en 1989. Il faudra attendre 1988 pour voir le PMU s’informatiser dans de grandes proportions. En 1994, une dizaine de pays d’Afrique reçoive la retransmission télévisée des courses de chevaux en France. Aujourd’hui, plus de 14 courses de chevaux sont organisées chaque jour. Plus de 8000 points de vente sont repartis sur le territoire français, soit plus de 14000 terminaux informatiques.


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